MES POEMES
CELESTE
Tes yeux me font songer à un ciel de printemps
Où pas un seul nuage ne glisse à l’horizon,
Et ton pâle visage, agréable et mignon
Est une ode à l’amour et un ravissement.
Ton regard est très doux, clair et très féminin :
Il m’élève vers Dieu, les Anges, le Divin,
Et m’apporte une paix affective profonde.
Dans le bleu de tes yeux circule encore une onde
De ruisseau cristallin, et ta bouche rosâtre
Est une pâle fleur délicate et fragile
Qui éclos largement sur la chaleureuse île
De l’amour sensuel. Cette blancheur d’albâtre
Qui colle à ton visage doux et vaporeux
Fait s’élancer mon cœur, tendrement, vers les cieux.
POEME DE TENDRESSE POUR CHARLOTTE, MEDIUM DE VOCATION ET PASSEUSE D’ÂMES
BEAUTE
Vos yeux sont merveilleux de splendeur galactique,
On y trouve un éclair de tendresse mystique,
Et dans votre regard éblouissant et clair Surgit,
de la douceur, le tout-puissant éclair.
J’aime la forme exquise de votre visage
Qui, de la joliesse, incarne fort l’image,
Et j’aime tendrement votre ample chevelure
Qui donne à votre tête une allure très pure.
Il y a, dans vos yeux, du transparent cristal
Le doux rayonnement de la sainte innocence,
Vos yeux sont l’escalier, triomphant et royal,
Qui mène au Tout-Puissant, à Sa magnificence,
Et votre très petite et très suave bouche
Par sa beauté fragile immensément me touche.
Poèmes pour CHARLOTTE
Philippe David ASSAYAH
L’univers de tes yeux d’un beau vert somptueux
est une contrée magique
J’aime profondément tes superbes yeux verts
Qui contiennent en eux des naïfs univers
Exotiques et beaux où tout n’est que chaleur,
Farniente, bercement, et paresse et douceur.
Dans tes grands yeux d’enfant qui expriment la joie
Mon coeur enamouré fait naufrage et se noie,
Bienheureux d’adorer, à travers ce beau vert,
Ton âme très limpide où point une lumière
Mystique et angélique et sacro-sainte et chaude.
Le très christique vert de tes yeux émeraude
Me plait et me ravit, m’exalte et me transporte
Dans un lieu où l’amour est souverain. La porte
De tes yeux délicats, entr’ouverte par moi,
M’apporte une chaleur, un palpitant émoi.
Le vert du paradis dans tes yeux trop exquis
Tes jolis yeux verdâtres me font voyager
Vers des contrées chaudes où il fait bon rêver,
Où tout se subordonne aux joies de la paresse,
Car lorsque ton regard très tendre me caresse,
Je sens, dans mon grand coeur, s’infiltrer une joie
Mystique qui m’émeut, m’attendrit, me foudroie,
Et m’élève vers Dieu. Ces verts hallucinants,
Fascinants, envoûtants et très ensorcelants
Que sont les verts profonds de tes yeux cristallins,
Permettent à mon âme d’oublier que j’erre
Dans le doute et l’horreur, l’angoisse, la misère,
Et m’apportent un graal de très sainte allégresse
Où se baigne mon coeur, submergé de tendresse
Et ravi d’être aimé par tes yeux souverains.
ELISE J’ai connu, à Pully, une fille tendre : Elise.
Sa face était divine, angélique et exquise,
Et son corps fin, petit, était très agréable.
Je l’ai aimée d’amour : elle était adorable.
Elle avait des cheveux d’un blond ensorcelant,
Des jolis cheveux doux qui rendent très enfant,
Et ses yeux, ravissants, d’un bleu miraculeux,
M’ont renversé d’amour, tellement ces doux bleus
Etaient majestueux, somptueux, magnifiques.
Dans mon cœur défilaient des extases mystiques
Lorsque je pouvais voir ses yeux extraordinaires
Qui m’ont commotionné comme des vifs tonnerres.
Cette fille était fine, et petite, et mignonne,
Et son visage clair ma laissé tout aphone.
ELISE LOVE FOR EVER
Il y a plusieurs années en arrière, j'ai donné mes commissions à UNE CAISSIERE DE LA MIGROS DE PULLY qui m'a ravi et enchanté.
Elle était très jeune, probablement Suissesse, exquisément FINE, BLONDE AUX YEUX BLEUS, ET J'AI FONDU DANS LE BLEU DE SES YEUX, AVEC UNE DOUCEUR INFINIE.
Je ne lui ai dit QUE GENTILLESSES sur sa personne, son physique, son visage, son intériorité émotionnelle, son âme, et surtout, sur la dureté et la difficulté de son métier qui m'apparaissait ingrat et trop dur pour le petit poids plume qu'elle était.
elle s'est litteralement arrete de travailler ou levee, ebahie par mes propos: qu'en l'espace de quelques secondes, je lui ai tout dit sur elle.
plus tard, elle m'a je crois, jugé, sur ma maladie et mon essai sur la schizophrénie.
j'en ai été triste: j'aurais voulu l'avoir pour amour. au jour d'aujourd'hui, bien des années plus tard, je ressens toujours, dans mon âme, de la tendresse pour cette fille. ma tendresse de coeur pour cette tendre elise est... eternelle.
je la trouve miraculeusement jolie. profondement attendrissante.
j'aime qui elle est et j'aime son visage: c'est un visage doux, qui evoque la purete et la delicatesse, la finesse et la grâce.
ses jolis yeux bleus surtout, sont toujours pour moi des ciels de printemps d'un bleu inalterable, des lagons turquoise, des oceans profonds, des lacs calmes, des joyaux lumineux et des saphirs etincelants. elise possede un regard de reve qui fait chavirer le coeur. de plus, ses tres jolis cheveux blonds offrent a sa tête adorable et tendre un casque splendeur esthetique de incomparablement forte.
que voulez- vous? j'aime cette fille.
elle est mon ideal : un ideal de douceur.
j'aimerai beaucoup la revoir amicalement, durablement, de facon et de fraternelle, tendre et platonique.
j'ai pour cette fille une affection tres tendre.
"des jolis yeux bleus, doux et delicats, sont sur une blonde, les saphirs etincelants qui rendent cette blonde merveilleuse et sacree, aussi splendide qu'une deesse et aussi estimable qu'une sainte. j'adore les blondes aux yeux bleus: elles me font rêver et planer. ce bleu qui brille dans leur regard emouvant est irreel et surreel, surnaturel et divin. c'est un bleu qui reflechit la lumiere du ciel et dans lequel on voyage voluptueusement pour oublier les maux de l'existence et se brancher a son enfant interieur. avec delice."
Eman Ali, Mon Coeur
Poésie
De toute ma vie d'homme, la jeune fille que j'ai le plus aimé, avec la plus intense et la plus qualitative tendresse, se nomme: EMAN ALI.
Ces mots d'amour, purement platoniques, ont été composés pour honorer sa douceur. Comme moi, elle est écrivain. Je l'aime de tout mon coeur. Elle est mon COEUR. Un coeur tendre et doux et superbe. La douceur faite visage. C'est elle que j'ai le plus aimé au monde. Pour la pureté de son innocence. Pour la douceur de son regard, la suavité de sa bouche, et l'angélisme sacro-saint de son visage infiniment poétique: cette fille a transpercé mon cœur d'une flèche d'amour indélébile.
Mademoiselle,
Vous êtes infiniment jolie, infiniment tendre et infiniment innocente. Bénie par Dieu. Cela se voit dans la joliesse exquise de vos tendres yeux merveilleusement doux et dans la splendeur mirifique de votre gracieux et angélique sourire. Vous êtes l'innocence et la candeur. La douceur de l'âme et la tendresse de cœur. Votre doux visage est celui d'un ange céleste. Je vous aime mystiquement parlant, pour la tendresse secrète qui gît à l'intérieur de vous et qui éblouit mon âme de façon miraculeuse, et qui s'extériorise avec grandiloquence et splendeur dans la magnificence christique du bleu azuréen de vos limpides yeux merveilleusement tendres: vous avez le Ciel dans vos yeux. Vous êtes la plus jolie création Eman Ali, Mon Cœur terrestre, ici-bas, sur Terre, du Seigneur Tout-Puissant. Je vous aime platoniquement d'un amour divin. Je vous aime tendrement, Mademoiselle: vous êtes une jolie petite fleur délicate: un lys d'une blancheur céleste et immaculée; une rose blanche sublime et parfaite; et enfin, une douce et tendre petite pâquerette, modeste, humble et discrète, mais cependant, divinement mignonne. La grâce surnaturelle et céleste de la Sainte Vierge Marie et de l'Ange Gabriel scintille dans vos tendres yeux doux et rayonne dans la magnificence de votre sourire éclatant


FRAGILITÉ La beauté de la vie tient à très peu de choses:
A l'amour, ou au temps, aux paroles très roses,
A un simple regard ou à une symbiose,
Et ce qui fait, parfois, qu'il y a apothéose,
C'est simplement le fait de se montrer enfant,
Naïf et étonné, ingénu, innocent,
Capable de surprise et puis d'étonnement
Et précis en paroles et en sentiment.
C'est la fragilité de la vie ici-bas
Qui rend notre séjour presque extraordinaire.
Et c'est la majesté du très profond mystère
Qui fait la poésie des hommes et des femmes.
Moi, j'aime l'existence quand mon cœur se pâme
Pour une blonde qui me parlerait tout bas.
KARINE, MA CÂLINE
Quand j’habitais Lutry, j’ai aimé une fille
Qui était Québecqoise et douce et Canadienne.
Sa douceur était belle et forte et souveraine,
Et dans ses très beaux yeux, moi j’observais la vie
La plus tendre en amour. Elle était née Scorpion.
Et Ascendant Poissons. Elle était très mignonne.
Sa douceur m’a laissé réellement aphone
Et j’aime encor très fort son visage mignon.
Elle a des beaux cheveux, elle est tendre et câline,
Pudique et très timide et proprement divine.
Bien des années après je l’aime tout autant.
Elle a un coeur sensible, et pur, un coeur d’enfant,
Et je l’aime d’amour, d’un amour pathétique,
Profond et viscéral, et noble et très mystique.
ELISE
J’ai connu, à Pully, une fille tendre : Elise.
Sa face était divine, angélique et exquise,
Et son corps fin, petit, était très agréable.
Je l’ai aimée d’amour : elle était adorable.
Elle avait des cheveux d’un blond ensorcelant,
Des jolis cheveux doux qui rendent très enfant,
Et ses yeux, ravissants, d’un bleu miraculeux,
M’ont renversé d’amour, tellement ces doux bleus
Etaient majestueux, somptueux, magnifiques.
Dans mon coeur défilaient des extases mystiques
Lorsque je pouvais voir ses yeux extraordinaires
Qui m’ont commotionné comme des vifs tonnerres. Cette fille était fine, et petite, et mignonne,
Et son visage clair ma laissé tout aphone.
Philippe David Assayah
Dimitra Frangos Une jeune fille née sous le signe de la Vierge. Très pure et très raffinée, très fine et très jolie Et très sympathique. Chaleureuse émotionnellement.
Nous étions en classe de terminale pour moi, elle de l'année précédente, pour passer notre Baccalauréat Français dans une école privée à Lausanne (Vennes, Val Creuse).
Lorsque je l'ai connue, j'avais 21 et 22 ans. Elle avait 17 ans. Elle était... Ravissante. Elle m'émouvait. Je suis allé quelquefois chez elle, en copain, dans son joli appartement d’Epalinges.
Je l'ai aimée secrètement pendant très longtemps. N'osant jamais lui avouer ma flamme.
Ce poème, ma perle rare, lui a été destiné. Il a été rédigé à mes 22 ans à Neuilly sur seine. Je n'oublierai jamais cette fille : (elle me manque, du reste) : elle est dans mon cœur pour toujours.
Elle est de nationalité grecque. Et j'adore cela. Quand elle parle (si joliment) elle possède un charmant, joli et exquis accent grec qui la rend irrésistible.
Ma perle rare
Ô Demy ! Mon aurore et mon cruel destin : Tout en toi, mon amour, respire le divin ! -De tes pieds vaporeux à ta gorge pudique, De tes bras trop chétifs à ta croupe magique Tes intonations, ton regard singulier, - - Tout sert et tout rehausse ta grâce éthérée !
Tout en toi, ô Demy, ensorcelle mon âme Et réveille ma souple et sacro-sainte flamme Le liturgique accent de ta riche musique Me transporte, ravi, de portique en portique, Ton corps apollinien est un parfait palace : - Rien ne peut égaler ta rayonnante grâce !
La laiteuse blancheur de ton beau corps d’albâtre, L’impeccable blondeur de tes cheveux de plâtre, Ton corps adamantin de sirène implacable, Le doux balbutiement de tes cils trop aimables, L’immortelle chaleur de tes yeux hypnotiques, M’enivrent d’un plaisir sensuel et mystique !
Toi ! L’unique que j’aime ! Mon plus cher joyau, - - ma perle océanique, mon radieux berceau, - Plus fraîche que la gaze éthérée des nuages, L’émouvante splendeur de ton coquet visage Exhale le divin, l’angélique, le beau, En faisant souplement danser ses traits géniaux ;
Ta bouche est une amphore où je bois mon ivresse, Prodigue en chauds baisers et en doctes caresses, Elle sait l’art d’offrir son suc vraiment exquis Et m’invite à goûter ses saveurs inouïes ! Et tes yeux, tous pareils à de lisses opales, Contemplent fixement mon désir vespéral !
Tel un cygne indolent, tu sillonnes les ondes De mon désir salé, ô saint ravissement ! – Qui recherche toujours sur ta face d’enfant, En ton sein généreux, sur tes courbes oblongues, La douceur maternelle et la force virile ; Rien ne m’empêchera de nouer notre idylle !
Tu es un lac d’amour aux flots immaculés ! Je veux te contempler comme un art achevé ; Et lorsque nous devrons nous séparer un soir, Tu resteras toujours gravée dans ma mémoire, Comme une chaste et tendresse caresse indélébile, - je t’aime, ô perle rare ! Mon trésor, mon île !
FRAGILITE
La beauté de la vie tient à très peu de choses: A l'amour, ou au temps, aux paroles très roses, A un simple regard ou à une symbiose, Et ce qui fait, parfois, qu'il y a apothéose,
C'est simplement le fait de se montrer enfant, Naïf et étonné, ingénu, innocent, Capable de surprise et puis d'étonnement Et précis en paroles et en sentiment.
C'est la fragilité de la vie ici-bas Qui rend notre séjour presque extraordinaire. Et c'est la majesté du très profond mystère
Qui fait la poésie des hommes et des femmes. Moi, j'aime l'existence quand mon coeur se pâme Pour une blonde qui me parlerait tout bas.
Philippe David Assayah
LE MIRACLE DE TON VISAGE EMOUVANT
Dans ton regard divin qui transperce mon coeur,
J’entr’aperçois le Ciel, Jésus, et sa douceur,
Et je puise en tes yeux un délectable miel
Qui me fait m’élever vers le surnaturel
En t’adorant d’amour sentimentalement.
Ton visage est très fin, raffiné, excitant :
Il respire la vie dans sa folle abondance,
Ainsi que la beauté dans son exubérance,
Et j’aime à la fureur m’attarder tendrement
A longtemps regarder ton visage émouvant,
Afin d’y déceler, de Dieu, l’infinitude ;
Car lorsque je contemple, et avec hébétude,
Tes yeux d’un bleu subtil où règne l’innocence,
Du miracle je fais la soudaine expérience.
Philippe David Assayah
INKEN, MON ALLEMANDE PRÉFEREE
Inken, tu me manques et dès le premier jour,
Je raffole à l’envi de ta gorge éclatante.
De tes grands yeux d’enfant, de ta majesté lente,
Et de tes beaux regards doux comme le velours.
Ta grande intelligence est extrême et lucide
Et j’adore ton âme qui est translucide.
J’adore ton parler. Tu es ma confidente
La préférée ici bas pour ta géminitude.
Tu me fais voyager vers une haute altitude
Quand j’écoute ton cœur à travers tes paroles.
Comme être harmonieux, tu es un être gracieux.
Lorsque je te regarde je m’approche de Dieu.
Nous avons toi et moi vieilli,
mais ces instants sont demeurés intacts.
La première semaine tu as eu bien du tact,
Pour m’aimer tendrement et douloureusement,
Et j’aime à la fureur tes très grands yeux d’enfant.
INKEN, MA GRANDE TENDRESSE
Je t’ai toujours aimé, dès le premier instant : Ta gorge sensuelle et ton regard d’enfant,
Ta beauté radieuse et ton cœur triomphant,
M’ont pour toujours ému, malgré le poids des ans.
Ton regard est très beau et très sentimental.
Ta voix est chaleureuse et pleine de gaieté,
Et vibre dans mon cœur pour l’immortalité
Tellement je t’adore et tellement fatal
Fut ce premier instant où je t’entraperçus.
J’ai adoré dormir tout contre toi, Inken,
De façon platonique, le cœur conquis et jeune,
Et j’ai aimé tes yeux adorés, ingénus.
Ta belle chevelure était très gracieuse : Elle resplendissait de beauté onduleuse.
TENDRE NOELLA Poème d'amitié pour honorer votre candeur
Votre joli visage est exquis de splendeur Et incarne la grâce et la pure candeur. Vous êtes ravissante et jolie comme un coeur Et inspirez l'amour et la tendre douceur.
Vos très jolis cheveux d'un blond ensorcelant Sont des champs de maïs et de blé. Emouvant Est votre doux regard de jeune fille en fleurs Au magnifique teint rose et blanc. La douceur
Circule dans vos yeux étonnamment profonds Et pour lesquels d'amour, je me pâme et me fonds. Oui, j'aime à la fureur votre intacte jeunesse,
Votre naïveté et votre joliesse, Tellement, chère enfant, parfois vous ressemblez A un manga suave qu'on aime regarder.
Philippe ASSAYAH

NEPTUNE A LA PLACE DES THUNES
Je n'ai jamais pu vivre l'amour affectif. Pas pu, pas su, trop jeune et trop vieux à la fois: Les années ont suivi, les semaines, les mois, Et jamais rien en moi ne fut trop décisif.
J'ai alors décidé de trouver un refuge A peu près agréable et sain dedans les livres. Cela n'empêcha pas les très hivernaux givres De s'abattre sur moi comme un puissant déluge.
Ayant été très pauvre et presque démuni, Je n'eu, pour supporter la vie que ma famille. Celle-ci s'imposa comme un rempart puissant
Contre la dépression, la haine et le néant. Manquer d'argent me pris ma santé et mes ans: Alors L'IMAGINAIRE, seul, m’a REJOUI.
Philippe David Assayah
LA CHALEUR DE L'ESPAGNE
Je n'ai jamais pu vivre une vie agréable. Mon quotidien trop dur et si désagréable M'a brisé mille fois, me rendant spleenétique. J'ai rencontré un jour un homme sympathique,
Conducteur d'autobus, d'origine espagnole: Il a été gentil, me sachant sans bagnole. Il était chaleureux, paternel, généreux, Amusé, fraternel, amical, vertueux.
Je ne l'oublierai pas. Car il fut comme un père: J'aime les Espagnols: leur âme est très sincère. C'est un peuple joyeux aux valeurs très humaines.
J'ai rencontré un jour la plus belle des reines: Elle était Espagnole et Poissons de son signe: Son prénom? BEGONIA. La pureté d'un cygne.
Philippe David Assayah
De la douceur de la nature et de la joliesse des fleurs
Une jolie petite fleur (telle qu'une tendre pâquerette) est la création la plus sacrée et la plus délicatement exquise de la planète. Dieu a créé les fleurs pour que nous nous émouvions en profondeur devant le comble de la grâce et le spectacle de la joliesse. Afin de comprendre que la douceur, la pureté et la simplicité sont les seuls ingrédients divins dignes de respect et d'adoration. A chaque fois que je peux me promener dans un beau jardin fleuri de douces pâquerettes, je suis au comble de la joie et de la félicité.
GRÂCE AU SECOURS DE MON IMAGINATION
Moi, j'ai trouvé l'amour dans L'IMAGINATION: J'y ai puisé la vie sous son aspect MIGNON. Mes fées à moi étaient des filles très ravissantes Aux joues rouges et roses et étincelantes,
Aux très grands yeux d'enfant beaux comme des mangas. Mes femmes avaient toutes l'aspect d'un doux chat Câlin, mystérieux, délicat, gracieux, Et leurs yeux, l'éclat pur des fantastiques cieux
De l'été très torride. Le bleu pur de leurs yeux Rivalisait d'éclat avec les plus chers voeux Qu'un homme puisse émettre. Me contentant de peu
Dans la vraie vie très dure, j'ai bu la douceur De mes phrases jolies où enfin l'Absolu Mon âme endolorie, a alors secouru.
J’AIME PAÎTRE TA FEMINITE
Quand mon visage entier dans tes cheveux s’enfonce,
Je me fraye un chemin parmi les noires ronces
De cette société où l’homme est âpre et dur,
Afin de m’y extraire pour trouver un pur
Sentiment cristallin de joie paradisiaque.
Cette joie, je la trouve en tes cheveux en vrac,
Lorsque je les respire et que je les savoure
Comme des bons biscuits ou des bons petits fours.
Car la femme est jolie de par sa chevelure
Qui la remplit de grâce et la rend noble et pure
Et merveilleusement, tendrement féminine.
Dedans ta chevelure à la santé bovine,
Je pais l’herbe très grasse de la volupté
Pour m’imprégner à fond de ta féminité.
J’AIME LES BELGES
Laura Laune est superbe en blonde émancipée, Jacques Brel est parfait en tourmenté poète,
La première a l’humour qui décante et tempête, Le second est sensible et a l’âme enchantée.
Cuypers a rédigé un précis magnifique Sur les douze Maisons, et puis Georges Antarès Fut l’un des tous meilleurs astrologues du monde. Anny Cordy fut drôle ; mais la suprême ivresse,
C’est une autre chanteuse, et c’est Lara Fabian Qui nous l’a procuré, pour dans nos coeurs d’enfant,
Répandre des filets de très large tendresse.
Hergé est sympathique et Jean-Claude Van Damme L’est encor davantage avec sa beauté d’âme.
Laurence Vielle enfin n’est que délicatesse.

SUPERBES CHAMPS DE BLE
Cependant, pour mon coeur et pour mes yeux émus, Les plus beaux champs de blé sont ceux, très ingénus, Des jolis cheveux blonds des femmes admirables Dont l'âme m'est très chère et les yeux adorables.
Je ne supporte pas la laideur ici-bas: Je la trouve choquante, laide comme les rats. La beauté seule, subtile, et superbe, m'attire, M'évitant de sombrer dans le Mal et le pire.
Les jolis cheveux blonds des filles sympathiques Sont de doux champs de blé, fleuris, aromatiques, Et qui me font songer à des lapins de Pâques.
Les jolis cheveux blonds, dans le vent, et en vrac, Sont des rêves chéris depuis belle lurette, Et j'en garde une trace profonde et très nette.
RITUEL MAGIQUE
Lorsque je peux glisser mes doigts dans tes cheveux
Où je trouve l’amour, le paradis, l’éden,
Mon âme s’en sent mieux et mon coeur moins peureux
Peut te sacraliser comme étant une reine,
Une reine sacrée, belle comme un printemps,
Avec des cheveux blonds qui rendent fasciné,
Avec un beau regard et une âme d’enfant,
Un cou très délicat, rose et blanc, délié,
Et des cils langoureux qui rendent extatique.
J’aime te caresser les cheveux, ma chérie,
J’aime les respirer de manière alanguie,
Car dans leur épaisseur abyssale je trouve
Un château fort superbe, entouré d’une douve
Et dans lequel je vis un rituel magique.
MANGA
Moi, j'aime à l'infini les tendres jeunes filles Qui ressemblent parfois à de jolis mangas Et dont le doux visage ressemble à un chat, Ce qui permet de vivre heureux, et sans guenilles.
La sidérante paix de leur visage d'ange M'émeut suprêmement et m'introduit parfois Dans un Jardin d'Eden où tout n'est plus qu'émois Sentimentaux très vifs. Leur majesté étrange
Frappe mes sens, parfois, et me rend amoureux. Les filles très "mignonnettes" rappellent les cieux Car l'on trouve, en cherchant, dans leurs superbes yeux,
Des trésors de douceur ineffable et divine. Moi j'adore la femme quand elle est câline, Comme un manga sacré à l'esquisse très fine.
TENDRESSE ARDENTE
Vos yeux, Mademoiselle, sont comme des fleurs
Délicates et frêles. Vous êtes si jolie,
Si douce à regarder que mon âme attendrie
Vous choie languissamment. Tous les plus grands bonheurs
Sont promis par vos yeux où scintille la tendresse,
Et votre teint très clair de fragile princesse
M'émeut et me rend fou de toute la jeunesse
Qui rayonne de vous. Pareille à la déesse
Athéna, vous brillez d'une antique beauté
Lumineuse et j'adore la féminité
Superbe de vos yeux et de votre visage
Opalin, clair, très doux, pur comme le cristal,
Si bien que je ressens un attrait très fatal
Pour vous, divine enfant, au regard tendre et sage.
SUPERBE EMOI
Je rêve d’enfiler mes doigts dans vos cheveux
Pour soulever un peu de votre joliesse
Et mieux m’enamourer de la délicatesse
De votre doux visage où j’entr’aperçois Dieu.
Votre teint magnifique est pareil à la rose :
Il est si délicat, si pur et si parfait,
Qu’il infuse en mon coeur le très nourrissant lait
De la douceur exquise. Votre teint m’indispose.
Votre bouche adorée, délicate, est un rêve
Dans lequel je me noie pour savourer la sève
De l’amour romantique le plus éthéré.
Votre regard est beau tout comme un ciel d’été,
Vos magnifiques yeux représentant pour moi
Un superbe, inouï et fabuleux émoi.

Ta belle âme se reflète dans tes beaux yeux
Dans tes très grands yeux bleus où baigne l’innocence,
Je distingue la vie, l’amour, l’insouciance,
La joie de vivre et puis la grâce et le bonheur,
Ainsi que la tendresse et la calme douceur.
Grandes fenêtres ouvertes sur l’infini,
Tes superbes yeux bleus me rendent alangui,
Je trouve dans leurs feux l’idée du paradis,
La joie de la beauté, le plaisir d’être ici.
Tes yeux me font vivre l’ici et maintenant,
Afin de déguster le doux instant présent,
Et j’aime, ô belle enfant ! très longtemps m’attarder
A les dévisager, à les voir, les scruter,
Pour observer ton âme qui, oui, s’y reflète,
Qui s’y mire et y baigne, et de façon très nette.
FONTAINE DE JOUVENCE
Il existe, parfois, tout au fond de nos coeurs,
Là où siège la flamme allant jusqu’au Seigneur,
Ce qu’on pourrait nommer : fontaine de jouvence.
Cette fontaine est calme et remplit d’innocence.
Elle apporte la joie, la grâce et la puissance :
D’où vient cette énergie qui déborde d’amour ?
Du coeur de l’Univers qui rend nos coeurs moins lourds,
Traversant nos esprits avec réjouissance
Comme une flèche pure atteignant droit sa cible.
C’est en ouvrant son coeur, et sans être irascible,
En restant calme et droit, et fort, et invincible,
Que l’on peut seulement trouver la Vérité.
Elle n’est pas mentale : elle est très affective :
C’est en étant très doux que l’on atteint sa rive.
PLUS BLOND QUE TES CHEVEUX DORES NE PEUT S’IMAGINER, MÊME LE BLOND DES BLES
Je suis très excité par tes beaux cheveux blonds
Qui sont plus savoureux que de subtils bonbons
Et j’aime mastiquer tes mèches ravissantes
Qui sont, par leur beauté sucrée, ensorcelante.
Oui, chérie, je l’avoue, penaud, même honteux,
Je suis un fétichiste des très beaux cheveux,
De la blondeur que j’aime et me fait m’ébaudir
Dans des joies de gamin. Je cesse de souffrir
Quand je regarde, ému, ta blonde chevelure
Que je trouve adorable, émoustillante et pure,
Et jolie tout autant qu’un jardin magnifique.
Je sais ; c’est très stupide, et c’est parfois très bête :
Que d’aimer une fille pour sa splendide tête,
Mais c’est par ta blondeur que je te trouve unique.
LA TERRE EST UNE VALLEE DE LARMES
Une vie sans argent est une vie maudite.
Une vie sans amour est une vie détruite.
Une vie sans amis est une vie très noire
Qui plonge dans le spleen et dans le désespoir.
Une vie sans poème est une vie très dure,
Une vie sans tendresse est une vie impure,
Une vie sans chaleur est une vie atroce
Qui ne permet pas de changer la citrouille en carrosse.
Une vie sans famille est une vie très triste,
Qui rend très dépressif et qui l'âme contriste
Et rend le coeur chagrin comme un Pierrot qui pleure.
Une vie sans enfants est une vie de leurre,
Alors qu'une existence avec rires de mômes
Guérit comme un Merfen et un Mercurochrome.
LAURENCE VIELLE LA POETESSE
JE M’APELLE « DANSE AVEC LES MOTS »
La puissance des mots, du Verbe et du langage
Est magistralement maîtrisée par Laurence
Qui est une âme tendre liée au bon Dieu,
En ayant simplement le sens du merveilleux.
Mieux qu’une autre, elle a compris, très bien,
L’importance sacrée de notre oralité,
La poésie étant faite, et avec entrain,
Pour être récitée, écoutée et scandée.
Cela lui donne alors une autre dimension :
Quelque chose de beau : indicible, ineffable
Lumière du Divin concentrée dans la langue
Quand elle est aussi bonne qu’une tendre mangue,
Et qu’elle peut guérir nos âmes vagabondes
Par des mots très savants, plus puissants que des ondes.
LA QUÊTE, gag de mauvais goût : à ne pas confondre avec LA QUÊQUETE.
La curiosité est un vilain défaut :
Elle nous fait aller dans des sordides lieux
Où l’on corrompt son coeur, se sent mal dans sa peau
Et où l’âme aveuglée ne voit plus du tout Dieu.
Etre volage est sot, apporte la détresse, Empêche d’instiller la grâce dans son coeur
Et fait s’éloigner l’âme du Ciel, du Seigneur,
Et n’apporte jamais qu’un ersatz de tendresse.
Hélas ! Il est parfois difficile à trouver Notre âme soeur parfaite, idéale, assortie,
Pour cela le tourment assombrit notre vie
Nous fait notre bonheur, pour ailleurs, rechercher.
C’est la fidélité qui sauve du démon ; C’est la stabilité qui apporte l’extase ;
C’est l’ancrage affectif qui nous met tous en phase
Avec le Pur, le Beau, le Vrai, le Droit, le Bon :
Les call-girls, les putains, n’ont vraiment rien de bon : Elles corrompent l’âme et la font s’éloigner
Du Seigneur et du Ciel où il nous faut régner,
Nous condamnant alors à la perdition !
Trouver le réconfort affectif et aimer Ne se fait comme il faut qu’avec son âme soeur
Dans son chez-soi, avec une lumière au coeur,
Une lumière belle où il fait bon rêver,
De façon très morale, et noble, et très pudique,
De manière jolie, très chaste et très mystique,
Et dans l’intimité d’un sentiment très pur
Qui seul nous fait rejoindre le Ciel et l’azur.

AU PORT DE PULLY
J’ai rencontré un jour une femme admirable,
Assez jeune, éveillée, possédant la sagesse :
Elle mangeait Vegan au restaurant, à table.
Son parler possédait de la délicatesse.
Elle était très gentille, très humaine, agréable.
Nous avons discuté, beaucoup philosophé,
Et de métaphysique et de l’éternité,
Ayant compris très tôt qu’il était méprisable
De trop aimer la vie ici-bas, où l’on souffre,
Par rapport aux promesses du ciel éternel.
Elle s’en est allée, très satisfaite d’elle.
J’ai médité ses mots. Ca s’est passé en Suisse,
Sur un banc et au port de Pully ; tel un lys,
Sa sagesse a poussé dans mon coeur, s’y engouffre.
BLONDES AUX YEUX BLEUS
Je suis semblable à mon cher ami, Baudelaire :
J’adore la beauté et comme Mallarmé,
J’aime la Poésie de façon très sincère.
Comme Paul Valéry, j’aime la mer, l’été,
Et comme de Musset, j’aime les jeunes filles
Raffinées, délicates et très éthérées :
J’aime les teints très blancs des blondes raffinées,
Les regards tout chargés de tendresses gentilles,
Les yeux bleus, les cheveux très raides et très longs,
Soyeux et scintillants, magiques et très blonds,
Et l’adorable et claire et pâle bleuité
Des magnifiques yeux d’une blonde adorable.
J’aime de la blondeur l’aspect très délectable
Ainsi que des yeux bleus la tendre éternité.

LA FLAMME JUMELLE
J'ai besoin d'une femme adorablement tendre,
Qui a de très beaux yeux et un très beau visage
Et dont la sainte et douce et magnifique image
S'incruste dans mes yeux, jusqu'a n'en plus entendre.
Je veux être avec elle adorable et gentil,
Humain, compatissant à ses douleurs profondes,
Et je veux me noyer dans les limpides ondes
De son coeur transparent. Elle sera ma fille,
Ma soeur et mon amante et ma câline mère.
Je l'aimerai d'amour au point d'en être fier
Et son splendide corps sera un monument
De beauté immortelle et aristocratique.
Je serai son bébé, je serai son enfant,
Tandis qu'on s'aimera d'un noble amour mystique.
LA VIE EN BEAU
L'amour seul justifie que l'on reste sur terre. L'amour sentimental autant que sexuel.
Sans la joie d'être aimé de façon très sincère Et celle d'adorer le plus essentiel,
La beauté, la douceur, et l'extrême tendresse, Le plaisir esthétique et la joie sensuelle, -
Nous sombrons dans le noir d'une grave détresse Et ne parvenons plus à trouver la vie belle...
Pour renouer alors avec la joie de vivre, Avec le sentiment de se sentir très ivre,
Il faut savoir écrire les pages de son livre
En adorant sans cesse, en vénérant le Beau,
En trouvant dans le coeur de l'Autre un pur joyau, Pour pouvoir s'écrier: "J'AIME LA VIE EN BEAU!"

La Force
Je suis parfois contraint, par la nécessité,
De travailler très dur à la Littérature,
Pour faire de ma vie un Art, et la rature
Du Réel ABOLIR avec habileté.
Je suis Luc Skywalker, je suis Maître Yoda,
Qui luttent au laser contre la société,
Pour réclamer parfois un peu de liberté
Et ne plus être un pion gouverné par l’Etat.
Je lutte contre le côté obscur de la Force :
Le Mal, l’avidité, et la cupidité,
L’égocentrisme humain, le profit convoité,
La dureté de coeur qui sème la terreur.
Dark Vador, c’est le mal de n’avoir aucun coeur,
D’avoir un coeur flétri et une âme retorse.
LA MODESTIE
Il est UNE VERTU que j’aime immensément
Chez une jeune fille, qu’elle soit belle ou non.
Cette vertu la rend miraculeuse et grand
Est son coeur grâce a ça. Son coeur pur et mignon.
J’aime les belles têtes blondes aux yeux bleus.
Cela ne se sait que trop depuis bien longtemps.
Mais j’aime aussi les gens qui sont humbles et pieux,
Et qui savent aimer avec un coeur d’enfant.
Les filles qui sont fragiles m’émeuvent beaucoup.
Celles qui ont des beaux yeux, un admirable cou,
Et un teint fascinant et qui tient du miracle.
J’adore contempler ce féminin spectacle Quelle est cette vertu qui me rend hébété ?
LA MODESTIE, LA GRÂCE ET PUIS L’HUMILITE.
Philippe David Assayah
Tribulations terrestres
Où que je sois allé, dans ma triste existence,
Je n’ai vu que malheur et détresse et souffrance,
Dépit, vicissitude, labeur, mélancolie,
Et absence de joie, grande neurasthénie.
J’ai trouvé bien des jeunes aimant plaisanter,
Déconner, rire aussi, pérorer, rigoler,
Mais leur niveau moral et leur futilité
Ne me donnait envie d’être comme eux. L’été
De la joie d’exister… je n’ai jamais connu :
J’ai vécu tristement, anonyme et vaincu
Par Dame adversité. Seul un fort mysticisme
M’a permis de vieillir sans grand catastrophisme.
Ma mère m’a manqué toute la vie durant :
Mais ma mysticité m’a rendu endurant.
MIGNONNE
Un visage mignon, tout empreint de douceur
Chez une jeune fille, suave et tout en fleur
Est-ce que je préfère, ici-bas, sur la Terre.
Si mon âme déteste ce qui est austère,
Elle aime le mignon, le doux et le joli,
Le fantaisiste aussi, l’enfantin, le suave,
Ce qui est rigolo, très espiègle et non grave,
Ainsi que le parfait, le doux et le sexy.
Moi, je trouve cela chez une jeune fille
Dont le regard très clair, très bleu et vraiment pur
Rivalise d’éclat avec le bleu azur
D’un beau ciel de printemps dégagé de nuages.
J’aime les émouvants et ravissants visages
Qui contiennent en eux une abondante vie.
POEME DE TENDRESSE A LA GLOIRE DE LA POLITICIENNE SUISSESSE VALERIE DITTLI
Votre tête adorable est tendrement mignonne Et votre chevelure est une féérie.
Votre féminité imparablement sonne
Et fait de votre être un objet d’orfèvrerie
Rare et très précieux. Votre regard est beau : Il fait scintiller votre âme comme un joyau.
J’aime plonger mon cœur dans vos yeux magnifiques, Y découvrir alors des trésors fantastiques :
L’amour et la douceur, la gaieté, la tendresse, La joie de vivre et même la délicatesse.
Vos cheveux raffinés sont jolis à mourir :
De douceur ils me font ardemment défaillir, Et je rêve parfois de pouvoir caresser
Leur texture adorable où je viens me pâmer.
Philippe David Assayah

RÊVASSER
J'écris parce que je ne supporte pas la réalité. J'écris pour FUIR. Pour fuir OÙ?.... Réponse: DANS LES CHIMERES. J'aime avoir une existence purement chimérique. Je n'aime pas le concret. J'aime l'abstrait. J'aime le rêve. Je suis une petite fille rêveuse: Alice dans sa prime jeunesse. Dans sa petite enfance. "JE RÊVASSE DONC JE SUIS" Coup de poing à René Descartes et à son cartésianisme obsolète. Rêvasser est une activité psychique extrêmement plaisante. Rêvasser rend GAI. C'est sans nul doute le grand secret du bonheur terrestre: RÊVASSER. « LA RÊVERIE EST LA JOIE PROFONDE DE L'ÂME. » PHILIPPE DAVID ASSAYAH LES PETITES FILLES LE SAVENT TRES BIEN, ELLES QUI S'ADONNENT PRESQUE TOUT LE TEMPS A LEUR ACTIVITE FAVORITE: LES RÊVERIES SECRETES. Dans le mot « RÊVASSER », il y a les mots « RÊVE » et « ASSEZ » : ce n’est que lorsque nous rêvons assez, que nous sommes comblés de joie.
Qu’est-ce qui fait rêver ? 1. L’AMOUR 2. LA TENDRESSE 3. LA DOUCEUR FEMININE 4. LA GRÂCE 5. LA BEAUTE 6. LA JOLIESSE 7. LE PLAISIR EROTIQUE 8. LA BONNE MUSIQUE 9. LA BONNE POESIE 10. UN REGARD DE RÊVE 11. UNE CHEVELURE DE RÊVE 12. UN CORPS DE RÊVE 13. UN PLAISIR SENSUEL OU SENSORIEL 14. UNE VOIX ENVOÛTANTE 15. UNE BOUCHE ESTHETIQUE 16. UNE ROMANCE IDYLLIQUE 17. UNE IMMERSION DANS LA NATURE
Et grâce à tout cela, il est facile de trouver la vie sur terre très belle et très agréable. Mais ce n’est que lorsque nous nous délestons du quotidien et des contingences terrestres et matérielles, que lorsque notre âme est gaie et insouciante, que nous pouvons alors rêvasser en toute tranquillité. Autant dire qu’en général ce n’est pas fréquent – les contingences et les limites nous rattrapant presque toujours inexorablement…Néanmoins, il est doux de rester ici-bas avec un coeur de fillette, c’est-à-dire avec des rêveries secrètes plein l’esprit…
