La Non-Communication

Notre société survalorise la communication. Hélas ! Elle survalorise surtout la communication ÉLECTRONIQUE : Internet, les sites de rencontres, les ordinateurs, l’informatique ; et tous ces jeunes et ces ados qui sont obnubilés par leur I-phone, Smartphone et Téléphone portable, sont à mes yeux des DÉBILES MENTAUX.
Face à cette OLIGARCHIE de la technologie moderne, il faut avoir le courage de lutter contre ce système inhumain et égoïste qu’est LA VIRTUALITÉ, pour communiquer AUTREMENT – de façon PLUS AUTHENTIQUE : entre soi et soi, par le silence et la méditation et l’introspection. Entre soi et la nature, PAR DES BAINS DE FORÊT OU RANDONNEES EN MONTAGNE, OU PROMENADES AU BORD DU LAC. Avec son prochain, de manière vraie, physique et émotionnelle, EN GARDANT LE SENS DU REEL.
Ce deuxième type de communication – qu’on peut appeler « NON-COMMUNICATION » par rapport à ce qui est socialement admis – est beaucoup plus nécessaire à notre équilibre personnel.
Enfin, ce qui peut apparaître de la non communication aux oreilles d’un néophyte ou d’un profane, relève au contraire du nec plus ultra de la communication : il s’agit de l’écoute du silence, de l’écoute de ses émotions et de la communication avec le Très-Haut, avec le Ciel, avec les Anges, ou encore du channeling et de la médiumnité. Cette « non communication » là est PLUS UTILE ET PLUS SAINE que celle qui consiste à avoir son nez constamment plongé dans son téléphone portable.
Elle est plus saine – parce qu’elle connecte intimement à son âme.
Tandis que la technologie moderne relève davantage de la possibilité réelle DE PERDRE SON ÂME, ou du moins, de ne pas la nourrir suffisamment qualitativement. Oui. En gros : INTERNET, C’EST LUCIFER. ET LE CHANT DES OISEAUX, C’EST DIEU.

Philippe David Assayah
Lausanne, Vaud, Suisse,
Le Mardi 30 Novembre 2021