La Littérature permet de rêver
Je crois que tous les hommes et toutes les femmes, et plus encore tous les ados et tous les enfants qui vivent encore davantage ancrés dans l'instant présent, aimeraient pouvoir (idéalement, bien sûr) toujours faire ce qu'ils veulent, avec qui ils veulent le faire, comment ils veulent le faire, où ils veulent le faire et aussi souvent qu'ils veulent le faire. Bref, se sentir radicalement LIBRES. J'imagine qu'avec beaucoup d'argent et des bonnes relations, c'est presque réalisable. Mais j'imagine aussi que c'est utopique de croire que ce type de liberté existe. Concrètement, j'entends. Dans la vie événementielle. Si bien que chacun fait ce qu'il PEUT, et non pas ce qu'il VEUT. D'où une tristesse métaphysique dans l'âme et le coeur de chacun qui traîne immanquablement.... Existe-t-il une parade à cela? Oui. En partie seulement: la Littérature. Dans un conte, par exemple, on peut S'EVADER (de la réalité et de ses limitations). Ainsi le lecteur et surtout l'auteur peuvent se créer un monde à part, plus joli, plus digeste, plus poétique et plus magique où chacun de ses fantasmes et désirs se voit réalisé magiquement, de façon parfaite, de sorte que grâce à la littérature, nous pouvons redevenir petit garçon et petite fille en vivant mieux nos RÊVERIES. Ces rêveries ont un rôle thérapeutique. Elles soulagent notre âme et dilatent notre coeur et nous donnent l' illusion d'une plus grande liberté vécue. D'un plus grand bonheur vécu aussi. Le hic, c'est que ce vécu est seulement abstrait. Mais il est des individus
qui adorent se nourrir d'abstractions et pour qui le monde extérieur et réel, concret et chosique, matériel, n'a pas grande importance, parce qu'il est entrevu comme trop limitatif. La littérature elle, et notamment la Poésie, en glorifiant les délices de l'imagination, permet de faire sauter ces limites et de vivre dans un monde magique aussi magique qu'est l'univers d'Alice au Pays des Merveilles.
C'est la grandeur de la Littérature que de savoir FAIRE RÊVER.
De la littérature et de son but :
Le premier but de la littérature n'est pas de distraire, mais d'ennoblir l'âme, d'élever l'esprit et d'exprimer la dimension spirituelle et émotionnelle de l'homme. Une littérature destinée à distraire peut-être bonne et agréable, et utile, mais si elle n'est destinée qu'à cela uniquement - la distraction - c'est alors une littérature de pacotille. La littérature doit se borner à dire l’essentiel : l'expression du beau (poésie) - y compris la poésie érotique, qui peut être belle elle aussi - du vrai (philosophie) et du bien (bonté). Elle doit parler de douceur, de tendresse, de romance et d'amour et des grandes questions existentielles. Une littérature qui se soucie uniquement d'être commerciale, et qui délaisse son aspect sacre et sacro-saint, à savoir parler à l'âme et au cœur, est une littérature très mauvaise et nuisible. La littérature a pour but unique d'exalter les valeurs artistiques, morales, spirituelles et émotionnelles de l'homme. Pour la communiquer ensuite aux autres 😊 (= le monde), afin que le monde soit purifié et que tous les hommes et toutes les femmes parviennent à la grandeur. Envisager la littérature uniquement - j'ai dit, uniquement - sous son aspect strictement et purement commercial, est un acte sacrilège.
Philippe ASSAYAH
Il m'avait demandé ce que je comptais faire plus tard et je lui avais répondu:
- Ecrire.
Cette activité lui semblait être "la quadrature du cercle" - le terme exact qu'il avait employé. En effet, on écrit avec des mots, et lui, il recherchait le silence. Une photographie peut exprimer le silence. Mais les mots? Voilà ce qui aurait été intéressant à son avis: réussir à créer le silence avec des mots. Il avait éclaté de rire:
- Alors, vous allez essayer de faire ça? Je compte sur vous. Mais surtout, que ça ne vous empêche pas de dormir...
De tous les caractères d'imprimerie, il m'avait dit qu'il préférait les points de suspension.
Patrick MODIANO Prix Nobel de Littérature en 2014
Chien de Printemps
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Créer le silence avec des mots
Rien de plus facile. Il suffit d'être poète. La poésie exprime l'indicible et l'ineffable, et est capable, beaucoup mieux que tous les autres genres littéraires, non pas, spécifiquement parlant, de créer le silence, mais d'imposer le silence, de par la majesté qui se dégage de l'aura des mots et de leur sonorité. Je ne veux pas parler d'une poésie métaphysique, tourmentée, absconse et sibylline, auquel cas aucune magie ne se dégage de cette poésie, mais d'une poésie tendre et romantique, qui parle d'amour fleur bleue. D'une poésie noble, sentimentale, pure, transcendante, grave et légère à la fois, d'une poésie qui exprime ce que l'on nomme dans le jargon ésotérique et philosophique, la musique des sphères. A part la très grande musique (exemple: Wolfgang Amadeus Mozart), seule la poésie, de par son lyrisme, sa musicalité, sa cadence, son rythme, l'alexandrin et la rime, est souverainement capable d'exprimer "la musique des sphères" - c'est-à-dire, en termes exotériques, l'harmonie de l'Univers et l'harmonie divine: le sentiment de l'infini, plus précisément à travers l'univers clos et fini du poème. C'est d'ailleurs la mission de tout grand chef d'oeuvre artistique: "traduire l'infini dans le fini." Cela, la poésie le fait à merveille. Cette harmonie enchanteresse qu'elle produit est une forme mystérieuse de silence, ou, tout au moins, de silence musicalisé. Alors, oui, dans ce cas précis, nous pouvons créer le silence avec des mots, et ces mots sont d'autant plus silencieux que chacun lit la poésie dans un puissant silence, dans une grande concentration mentale, avec une émotion d'allégresse sainte et un émoi palpitant au coeur, et surtout, dans un silence et un recueillement... religieux.
PHILIPPE ASSAYAH
Lausanne, Suisse, le Vendredi
11 Octobre 2019
BAUDELAIRE ET BERNARD-HENRI LEVY
L'inspiration poétique, notamment concernant le génie, peut sembler, au profane... UN MYSTERE. Un mystère impénétrable. En réalité, moi, j'ai percé ce mystère. Et je l'ai élucidé. L'inspiration vient de Neptune, la planète de la poésie et de l'imagination, du mysticisme et de la spiritualité et de l'extase.
Baudelaire, bien que natif du Bélier et qu'Ascendant Vierge, était lié à Neptune, de par le simple fait que son Mercure natal (= intellect et communication, parole) était en Poissons et que son Noeud lunaire Nord (= mission divine sur Terre) était lui aussi en Poissons. Les astrologues le savent, le Poissons est le signe de la poésie. Du génie. Artistique notamment. Poétique en particulier. Parce que le Poissons s'exprime avec des images et des symboles. Tout s'explique lumineusement et simplement. Elémentaire, mon cher Watson!
Reliquat des Fleurs du Mal
- Comment, par une série d'efforts déterminée, l'artiste peut s'élever à une originalité proportionnelle;
Comment la poësie touche à la musique par une prosodie dont les racines plongent plus avant dans l'âme humaine que ne l'indique aucune théorie classique;
Que la poésie française possède une prosodie mystérieuse et méconnue, comme les langues latine et anglaise;
Pourquoi tout poëte, qui ne sait pas au juste combien chaque mot comporte de rimes, est incapable d'exprimer une idée quelconque;
Que la phrase poétique peut imiter (et par là elle touche à l'art musical et à la science mathématique) la ligne horizontale, la ligne droite ascendante, la ligne droite descendante; qu'elle peut monter à pic vers le ciel, sans essoufflement, ou descendre perpendiculairement vers l'enfer avec la vélocité de toute pesanteur; qu'elle peut suivre la spirale, décrire la parabole, ou le zigzag figurant une série d'angles superposés; Que la poësie se rattache aux arts de la peinture, de la cuisine et du cosmétique par la possibilité d'exprimer toute sensation de suavité ou d'amertume, de béatitude ou d'horreur par l'accouplement de tel substantif avec tel adjectif, analogue ou contraire;
Charles BAUDELAIRE
Extrait de
"LES DERNIERS JOURS DE CHARLES BAUDELAIRE" de Bernard-Henri LEVY, Baudelaire étant mon Maître en poésie:
"Il m'expliqua que ses poèmes avaient tous un plan. Une structure. Que leurs rimes étaient calculées selon des lois sans faille. Qu'il pouvait produire un sonnet rien qu'en combinant, selon leur ordre, une série de chiffres fétiches. Il me donna ces chiffres. M'indiqua leur enchaînement. Me révéla que je découvrirais dans les Fleurs, si je m'en donnais la peine, toute une série de motifs (une rosace, un losange, une pyramide renversée, le plan du Père-Lachaise) à l'impeccable géométrie. Il m'informa qu'il avait dissimulé dans "Bénédiction" et "L'Harmonie du soir" les initiales de son père croisées avec celles de Mariette. Qu'il avait choisi le nombre de vers de "A une Madone" en fonction de l'âge de sa mère. Conformé celui des strophes de "Delphine et Hippolyte" à l'âge qu'aurait eu son grand-père au moment où il l'a écrit. Il me révéla enfin que toute la série des "Vins" avait été organisée selon des règles de métrique démarquées de la première phrase de chacune des Histoires extraordinaires. Et il conclut qu'il n'avait donc jamais - il insistait sur le "jamais" - éprouvé une seule des émotions qu'il décrivait dans toutes ces pièces."
Grasset, 1988, pages 282, 283
Littérature & Schizophrénie
Un peu de littérature : « La petite Jessica » ou… la révolte métaphysique contre la psychiatrie et contre l’athéisme, le cartésianisme et le matérialisme des psychiatres qui généralement empêchent leurs patients de vivre librement leur mystique et leur spiritualité, et les empêchent ainsi de se connecter à leur source éternelle : Dieu. Et la question soulevée, sachant que 10% des schizophrènes terminent leur vie par un suicide et que 40% d’entre eux ont déjà connu une ou plusieurs tentatives de suicide : « Cela vaut-il la peine de se suicider pour fuir l’univers féroce de la psychiatrie et la méchanceté de son psychiatre ? »…
La petite Jessica
Il était une fois une tendre petite fille qui se prénommait Jessica. Elle était autiste. Mais tendre. Bonne. Douce. Infiniment gentille. Son autisme n’était pas survenu à cause d’une maladie, mais parce que son âme avait reçu un violent choc des hommes. Elle vivait à Paris. Dans cette capitale importante, grande ville moderne et bruyante, elle avait une joie : ses peluches et ses poupées. Elle jouait souvent à la poupée, leur parlant très souvent et se montrait gentille et affectueuse avec elles, surtout avec sa poupée préférée « Bulle », la Supernana. Elle dormait chaque soir dans son petit lit douillet avec sa poupée Bulle contre son coeur, sachant que cette poupée possédait le pouvoir magique de lui faire faire de beaux et doux rêves. Mais elle était triste. Les Parisiens et les Parisiennes, durs, égoïstes, individualistes, capitalistes, actifs et laborieux, étaient des gens méchants, sans coeur et sans âme, sans gentillesse réelle et authentique, et un jour, elle avait croisé un policier qui avait voulu la violer, alors qu’elle n’avait encore que 6 ans. Elle avait été terrorisée. Elle avait réussi à s’enfuir et à s’échapper, mais elle avait dorénavant compris une chose, une chose essentielle : les adultes sont méchants. Ils n’ont pas de coeur. La tendresse, ils ne connaissent pas. Choquée par ce qu’elle avait vu de cet homme monstrueux qui était plus puissant et mieux charpenté que Chabal, le joueur de rugby de l’équipe de France, elle s’était réfugiée dans son lit où elle pleurait tous les soirs, serrant ses poupées contre son coeur, ne comprenant pas pourquoi les hommes étaient si durs et si méchants. Elle avait aussi un grand malheur et un grand maléfice dans sa vie : sa psychose l’obligeait à côtoyer un psychiatre à Paris. Un homme stupide. Dur. Méchant. Grossier. Rustre. Indélicat. Qui l’analysait scientifiquement sans chercher à la guérir. Elle en était malheureuse. Sa maman avait disparu dans un accident de voiture, aussi ne pouvait-elle plus se réfugier auprès d’elle et son papa était mort mystérieusement. Aussi était-elle orpheline, étant fille unique. Comme elle était incomprise et qu’elle n’avait pas de copine avec qui jouer et parler et qu’elle n’avait que ses poupées et ses peluches à qui faire confiance, elle se parlait à elle-même, toute seule, en grande fille qu’elle était à l’occasion. Mais un jour, elle en eût marre. Tout ce qu’elle vivait était infernal. Tout ce qu’elle voyait autour d’elle la terrorisait : les gens, la ville, le bruit, les voitures, la pollution, la fureur de vivre, la dureté de coeur des uns et des autres, l’absence de ses parents décédés, l’absence d’un camarade de classe (elle n’allait plus à l’école), l’absence d’un frère ou d’une soeur. Elle avait été adoptée par des gens inconnus dont elle se sentait profondément étrangère. Aussi était-elle coupée du monde et de la vie. Sa seule et unique joie, c’était de jouer avec ses jolies poupées. De leur parler. De les coiffer. De les habiller. De les aimer et de les chérir avec le coeur. Car elle n’avait de coeur que pour ses poupées. Les gens la terrorisaient. Comme elle se rendit compte, le jour de ses 7 ans, âge de raison, que le monde extérieur était dur et cruel, que sa mère adoptive lui était une étrangère, et que son père adoptif était un démissionnaire toujours absent, et que les méchants et durs adultes étaient toujours affairés, n’ayant jamais le temps de se montrer gentils avec elle, elle décida une chose affreuse : se suicider. Elle aimait la vie, pourtant. Et elle croyait profondément en Dieu qu’elle aimait tendrement. Mais elle ne comprenait pas pourquoi la vie était si dure et pourquoi sur Terre Dieu était absent… On lui avait pourtant raconté, dans sa toute tendre enfance, que Dieu était amour, bonté, miséricorde. Mais ces vertus-là, elle ne les avait jamais trouvées chez aucun être humain. Aussi, comme elle avait besoin de tendresse et que ses seules poupées ne pouvaient lui procurer la dose massive de tendresse qu’elle voulait connaître, elle partit sur le pont Alexandre III, et passa à l’acte. L’acte terrible. L’acte irréversible. L’acte fatal. L’acte terrorisant. Elle se jeta en bas du pont. Elle mourut très violemment d’un choc irréversible pour son âme. Noyée dans la Seine. Car elle ne savait pas nager. Dieu ne l’accueillit point au paradis. Elle avait rompu un équilibre cosmique. Elle n’alla pas pour autant en enfer. Elle était douce. Elle alla dans un lieu inconnu de tous, très haut dans l’au-delà, où il existait un grand magasin de poupées, et où elle pouvait jouer indéfiniment à la poupée, sans avoir besoin d’argent pour en acheter. Elle était assez heureuse ici. Bien sûr, il n’y avait aucun autre être humain qu’elle-même. Il n’y avait qu’elle, l’espace intergalactique et un grand magasin de poupées. Mais ça lui suffisait. Elle avait eu la joie de quitter Paris et sa fureur ainsi que la méchanceté de son médecin psychiatre, et elle se disait maintenant : « Plus personne ne me fera souffrir ! Personne ! » C’était une consolation pour son coeur chagriné. Dans ce magasin de poupées intergalactique, elle eut la joie de revoir la réplique exacte de sa poupée « Bulle ». Elle s’en saisit d’instinct. Elle la plaqua contre son coeur et pleura. Elle lui parla et lui dit, à sa petite poupée : « Je n’aime que toi, Bulle. Je ne ferais confiance qu’à toi. Tu es ma grande tendresse. Tu es ma maman. Tu es ma soeur. Et puis tant pis si j’ai quitté la terre : la terre n’est qu’enfer. La Terre est une vallée de larmes. Le paradis, c’est de jouer aux poupées. Je ne vois pas Dieu et j’en suis étonnée. » Et la poupée lui répondit : « C’est normal, Jessica. Tu t’es suicidée. Dieu te vénère, mais il t’en veut. Sa rancune est si puissante qu’il ne t’apparaîtra jamais. » « Où suis-je ici ? » demanda Jessica à Bulle. « Tu es au purgatoire. » « Et pourquoi y a-t-il un magasin de poupées au purgatoire ? » « Parce que Dieu t’aime malgré tout. Mais tu ne le verras pas. Console- toi avec ta poupée. Ce sera ta seule joie de toute ta mort. » Et Jessica pleura et pleura et pleura et s’en voulut de s’être jetée en bas du pont Alexandre III. Elle était morte. La vie avait fini de couler dans ses veines. Mais au moins trois consolations avaient réjoui quelque peu son âme profondément choquée : elle n’avait plus de compte à rendre à son médecin psychiatre, elle n’avait plus à subir la fureur de Paris, et surtout, surtout… elle pouvait encore, et éternellement, jouer aux poupées… Le jeu en avait-il valu la chandelle ? C’est l’éternelle question à laquelle nul n’aura jamais la moindre réponse sûre…
UNE DAME SUISSESSE SAGE ET SYMPATHIQUE = CONNIVENCE INTELLECTUELLE
UN PRINTEMPS ENSOLEILLÉ DE 2022
Une belle journée ensoleillée de printemps 2022, j’ai adressé, curieux, la parole à une femme d’âge mûr, qui était assise sur un banc d’un arrêt d’autobus. Je lui ai demandé, à brûle-pourpoint : « madame, savez-vous pourquoi les gens courent après le temps, se stressent, s’agitent, sont tout le temps dans l’action, et ne détendent jamais ? Moi, ça me tourneboule la tête toute cette agitation ! » elle m’a répondu : « c’est la course au profit : ils courent après l’argent. » et elle m’a sorti un livre de son sac et m’a dit : « moi, j’ai de la lecture. » je lui ai dit, en guise de conclusion : « les gens ont perdu leur innocence. » « Je préfère aussi un bon livre a la course au profit. »
Moralité : la littérature renoue avec notre humanité. Le recueillement est plus sacré que l’action. C’est voltaire qui a vu juste avant tout le monde, en ayant affirmé cette belle parole de sagesse et de vérité : « la lecture agrandit l’âme, et un ami éclaire la console. »
PHILIPPE DAVID ASSAYAH
VÉCU PERSONNEL
Charles du Bos L’Aigle du Scorpion Ou LA NÉCESSITÉ DE LA POUR LA CIVILISATION
Si les jeunes, les hommes et les femmes veulent COMPRENDRENT très intimement LE SENS ET L’ESSENCE DE LA LITTÉRATURE ET DE LA BEAUTÉ DE LA LITTERATURE, ILS DOIVENT ABSOLUMENT LIRE L’EXCELLENT ESSAI DE CHARLES DU BOS AUX ÉDITIONS SUISSES L’ÂGE D’HOMME, « QU’EST-CE QUE LA LITTÉRATURE ? »
Les gens comprendront alors que la Littérature est quelque chose de profond, et pas seulement un jeu ou un divertissement.
Charles du Bos était né sous le signe passionné du Scorpion. Il en avait L’EXTRÊME PROFONDEUR émotionnelle et intellectuelle.
Philippe David ASSAYAH