DU GENIE FOOTBALLISTIQUE DE MICHEL PLATINI, L'ORFÈVRE DES COUPS-FRANCS ET LE
JOAILLIER DU BALLON ROND
J'ai beaucoup aimé voir jouer, dans ma jeunesse, Michel Platini. Son génie m'a émerveillé. il restera pour moi, à vie, tous sports confondus et toutes générations confondues, mon sportif préféré, ma joie et mon idole. Quelques-uns de ses magnifiques buts demeureront à jamais des purs joyaux et d'authentiques chefs d'oeuvre. Ainsi le but qu'il a marqué sous le maillot de la Juve, le 10 avril 1983, contre Ascoli, où la Juventus l'avait emporté 5 à 0, avec un une-deux avec Roberto Bettega, une aile de pigeon, une reprise de demi-volée et un lob de la défense et du gardien de but adverse. Ce but est un pur chef-d'oeuvre. Ainsi encore, le but qu'il a marqué sous le maillot de la Juventus de Turin, contre Pescara, le 22 août 1982, où la Juventus s'est imposée 2 à 1, quand la défense adverse monte pour créer le hors-jeu et que lui s'empare du ballon et par une pichenette, lobe toute la défense, la traverse, fixe le gardien de but adverse et va déposer calmement le ballon dans la lucarne adverse, avec sang-froid, génie et esthétisme. Ce sont deux buts de génie.
UN ANGE DESCENDU SUR TERRE
Michel Platini, sur une pelouse, ne marchait pas et ne courait pas comme les autres joueurs de football: il lévitait. Il planait littéralement. Il volait majestueusement. Son élégance racée et sa grâce profonde l'apparentaient en tous points... A UN ANGE. Peut-être était-il dieu? Peut-être était-il fée? Peut-être était-il magicien? Sa vista et sa maestria sont légendaires, et n'ont jamais trouvé d'égal dans le monde, et font du "Roi" Michel, le joueur de football le plus intelligent qui n'ait jamais été, et le plus virtuose. L'esthétisme souverain avec lequel il jouait, passait le ballon à ses coéquipiers, avec une technique imparable et des ouvertures millimétriques et lumineuses d'une fulgurance insolite, l'esthétisme suprême enfin avec lequel il marquait des buts décisifs, reste immortellement souverain...
AVEU SINCERE
Monsieur Michel Platini,
Vous êtes et resterez, à mes yeux, le plus grand et le plus beau, le plus élégant et le plus courtois, le plus pur et le plus fair-play, le plus tendre et le plus gentil, le plus parfait et le plus technique des footballeurs du
monde entier, et je précise avec netteté - tous siècles confondus. En plus, bien que vous ayez toujours eu conscience de votre grandeur, vous étiez discret, timide, humble et pudique. Vous resterez à jamais le pur joyau de l'équipe de France, ad vitam aeternam. De plus, vos coups-francs resteront à jamais, toutes équipes nationales et de club confondues, par-delà les siècles, les plus majestueux. Vous étiez une perle. Un diamant. A l'état brut. Vous m'avez fait rêver et fait rêver la France, l'Italie et le monde avec panache et splendeur. Je vous aime divinement parlant. Vous resterez un grand souvenir pour moi. A tout jamais.
PHILIPPE ASSAYAH
Astrologie Michel Platini et le sport et la célébrité
VÉNUS en maison x l’a propulsé vers la célébrité avec une carrière librement choisie qui exprime un idéal et qui donne des honneurs a la clé. La lune en cancer le rend timide et pudique, très sensible et hyperémotif. JUPITER EN LION signe la gloire et le rayonnement des valeurs du cœur. L’ascendant lion et pluton en conjonction a l’ascendant, en maison i en position de dominante planétaire, lui assure le rayonnement de l’égo, le pouvoir et la puissance. Enfin, le nœud nord en maison v en SAGITTAIRE avec lilith qui peut aussi être interprétée en maison v lui a donné un rayonnement international à travers certaines des valeurs de la maison v : l’enfant intérieur, le fait de laisser sa marque, la gloire, le plaisir, le jeu, le sport, le divertissement et le spectacle.
Philippe David ASSAYAH Fan éternel de Michel Platini
L'EQUIPE DE FRANCE DE FOOTBALL DE MICHEL HIDALGO DES ANNEES 80
L'équipe de France de football de Michel Hidalgo, des années 82-84, demi-finaliste de la Coupe du Monde en Espagne et championne d'Europe en France, était une équipe magnifique. A l'époque, la France, c'était le Brésil de l'Europe. C'était un football très technique et très offensif: c'était le football champagne. Un football de rêve emmené magistralement par le CARRÉ MAGIQUE:
PLATINI / GIRESSE / TIGANA / GENGHINI PUIS FERNANDEZ
Platini était le meilleur joueur du monde, Tigana, la gazelle ou l'antilope de l'équipe de France, et Giresse, un
technicien hors pair. La joie spontanée et puissante qu'il a exprimé en marquant le très beau troisième but de l'équipe de France, à Séville, face à l'Allemagne, était une joie extraordinaire, intense et très communicative. Ce match restera pour tous les français de l'époque une tragédie. C'est l'un des plus beaux matchs qu'il m'ait jamais été donné de voir. Quant au dénouement de ce match,
j'avoue qu'il m'est toujours resté en travers de la gorge. Nous autres français fans de foot avons vécu en 82 et 84 des instants palpitants. Quant à la tête plongeante de Michel Platini, en 1984, à l'Euro, face à la Yougoslavie, tête plongeante ponctuée d'un but, elle était tout simplement somptueuse. Platini a été mon idole d'enfance et d'adolescence, et le restera à vie. C'était un génie.
Le Soleil du Brésil
Poème en prose
PHILIPPE DAVID ASSAYAH
Magali me présenta sa copine brésilienne, qui était l’une de ses camarades de classe, une fille très sexy de tout juste dix-huit ans, une blonde aux cheveux longs et lisses, à la peau blanche, mais finement dorée par le soleil de l’été des plages de Rio de Janeiro et de Copacabana, une fille très chaleureuse et très sensuelle avec un cul splendide, rond, petit, ferme, musclé, un cul en forme de coeur et joli comme une perle précieuse. Cette charmante brésilienne se prénommait Paula. Paula enroula son corps voluptueux autour de mon corps qui la désirait, s’entortilla autour de moi comme un boa constrictor qui enserre sa proie, l’étouffe et l’étrangle, et me susurra aux oreilles des mots crus, obscènes et indécents qui m’excitaient et l’excitaient elle-même, tout en entrecoupant le flot délicieux de ses paroles sensuelles de petits léchages de langue dans le creux de mon oreille droite, délicieusement chatouillée par le muscle charnel de sa langue sexuelle. Nous fîmes l’amour tendrement, comme deux jeunes jouvenceaux qui découvraient l’extase érotique pour la première fois, son ventre brûlant plaqué contre mon ventre étourdi de bonheur, et son vagin moelleux venant chaleureusement envelopper ma verge qui s’enfonçait en elle avec le plus indescriptible des ravissements, la faisant parfois pousser des petits cris charmants de plaisir sexuel, tels que « Caramba ! Deus : è perfeto ! » ou encore : « Puta madre : tu es le dieu de l’amour ! » ou encore « Yeah ! I feel good ! ». Quant à moi, enhardi par la chaleur sensuelle de son corps voluptueux et doré, doux et caressant, grisé superbement par la joie de savourer dans le coeur de son être, par mes pilonnages tantôt tendres et câlins, tantôt virils et violents, je lui murmurais aux oreilles qu’elle avait adorablement petites, les brûlants mots d’amour suivants, le tout, sur la musique de fond de Gilberto Gil et de sa joyeuse chanson « Toda Menina Baiana » sur laquelle nous faisions l’amour en cadence, enlacés superbement, envoûtés l’un par l’autre, elle par la douceur de mon sexe qui la martelait rythmiquement et la faisait se plonger dans des extases profondes qui lui arrachaient des cris de plaisir, moi par la finesse, la chaleur et la douceur de son corps adorable et charnel qui s’enroulait voluptueusement autour de mon corps généreusement offert aux morsures de ses baisers, de son beau corps longiligne et gracieux qui s’enroulait lascivement autour de moi comme les tentacules gluantes d’une pieuvre qui ne veut pas lâcher sa proie et la dévore toute entière :
« Sur ton corps doucereux le soleil du Brésil
Étincelle et ruisselle et rayonne et reluit,
Et quand ta bouche émet des sons, un doux grésil
Crépite dans mon coeur qui en t’aimant, revit.
Ton très beau corps bronzé, doré comme le cuivre,
Resplendit de beauté et tes yeux chaleureux
Du Brésil ont la flamme et je me sais heureux
Quand je suis dans tes bras où je me sens revivre.
La samba, le football, la gaieté, l’allégresse,
Toute l’ample folie d’un joyeux carnaval
Danse dans tes iris où brille la tendresse
La plus profonde. Emu, mon coeur fuyant le mal
De Dame Solitude en entrant dans ton corps
Ressent le paradis des plages de Rio
Et le propre génie du grand Rivelino
Circule lestement dans ton envoûtant corps.
Tu me distilles l’amour beaucoup mieux que Zico,
Tu shootes dans mon coeur et comme Falcao
Tu danses et ta joie, comme le roi Pelé,
Ensoleille les coeurs que tu as envoûté
Par ta danse vaudou qui charme et ensorcelle.
J’aime profondément t’avoir pour ma maîtresse,
Parce que ton beau corps élégant de gazelle
Court plus élégamment que le grand Socratès.
Dans l’art et la technique d’embrasser, chérie,
Tu es passée maîtresse et mieux que Platini,
Les magiques coups-francs de tes brûlants baisers
Les filets de mon coeur viennent faire trembler. »
FOOTBALL,
EROTISME, SAMBA ET ALLEGRESSE
"La joie est le passage d'une moindre perfection à une perfection plus grande." Spinoza