DOUCEUR
Il était une fois un très petit garçon
Qui était amoureux d’une petite fille ;
Et ce petit garçon, châtain et très mignon,
Lui dit à sa jolie : « Je t’aime, ma chérie ! »
La très petite fille était très ravissante :
Sa bouille de gamine la rendait câline.
Son visage était doux, son allure avenante,
Ses doux yeux bleus remplis d’une lumière divine.
Sa belle chevelure d’un blond scintillant
Lui faisait une tête adorable et poupine.
Le tout petit garçon, amoureux, conquérant,
Lui dit à sa chérie : « Je t’aime, ma féline !
Tes très tendres yeux bleus sont des miroirs profonds
Dans lesquels j’aperçois les lueurs du Divin,
Oui, tes yeux, ma beauté, superbes et mignons,
J’aime les contempler. Mon tendre coeur câlin
Aime aussi tes cheveux d’un blond miraculeux
Que j’aime caresser de mes mains amoureuses
Qui sentent dans les ors de tes mèches poudreuses
Des bonheurs inouïs, magiques, merveilleux !
Ma tendre bien-aimée, ma poupée, mon amour,
Laisse-moi donc t’offrir un beau bouquet de fleurs
Pour longuement unir nos deux très tendres cœurs
Afin que la douceur nous unisse toujours… »
Philippe ASSAYAH




LA GENTILLESSE ET LA DOUCEUR SONT DEUX VERTUS MAJEURES QUI FACONNENT LE BONHEUR
Pour pouvoir jouir comme il faut du quotidien, il faut savoir revoir ses idéaux à la baisse, et savoir faire preuve et de réalisme et de pragmatisme.
On peut rêver tant qu’on veut à l’Idéal, ce qui compte ultimement, c’est de pratiquer dans ses actes quotidiennement l’Idéal, de vivre heureux au quotidien, avec ces trois bienfaits principaux que sont la santé, la sécurité financière et l’amour ; et si vous jouissez de ces trois bienfaits simultanément, vous êtes déjà assuré d’une bonne qualité de bonheur. Le bonheur n’est pas lié à un impossible rêve, ni au fait de décrocher l’inaccessible étoile – tout ceci n’est que du rêve – mais il est lié à la simplicité.
Il n’est pas lié non plus à l’orgueil et à la mégalomanie, ni à la force, ni au pouvoir, ni à la puissance, mais au calme, à la modestie, à la gentillesse et à la douceur.
PHILIPPE ASSAYAH
HUMOUR JUIF, JEU SUR LES MOTS ET SPIRITUALISME :
« DIEU » se trouve en disant « Heu ! » ET « Dit… heu ! » - c’est-à-dire en devenant UN PETIT BEBE : HYPEREMOTIF ET HYPERSENSIBLE QUI S’EMERVEILLE DE L’AMOUR ET DE LA DOUCEUR.
Car c’est dans l’amour et dans la douceur que l’on trouve Dieu.
